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Cercle Genealogique de l’Aveyron
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CERCLE GENEALOGIQUE du SUD-AVEYRON
Création et vie du Cercle
Article mis en ligne le 7 janvier 2006

Voici le discours d’inauguration de notre, maintenant, ancien local, que Maurice MIQUEL a eu la gentillesse de nous envoyer

CERCLE GENEALOGIQUE du SUD-AVEYRON

DISCOURS d’INAUGURATION de la SALLE

Au 70, Place des Consuls
le
25 novembre 2000

Ce n’est pas ma spécialité de faire des discours mais aujourd’hui, comme nous inaugurons nos nouveaux locaux, c’est avec plaisir que je vais vous présenter tout le travail accompli en 14 ans.

Je tiens d’abord à présenter tout en les remerciant de leur présence :

 Jean-Yves LALLARD, sous préfet de l’arrondissement de Millau
 Jacques GODFRAIN, député maire de Millau, ancien ministre
 René QUATREFAGES, Conseiller général du canton de Nant, président de la commission de la culture au conseil général de l’Aveyron, président du Parc Régional des Grands Causses et maire de St-Jean du Bruel
 Jean GENIEZ, Conseiller général du canton de Cornus et maire de Ste-Eulalie-de-Cernon
 Armand VERNHETTES, Conseiller général du canton de St-Beauzély et maire de Montjaux
 Jean-Louis COULON, Conseiller général du canton de MILLAU Est
 Guy DURAND, Conseiller général du canton de Millau Ouest
 Alain VERNHET, adjoint à la mairie de Millau, président de la commission de la culture
 Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux des diverses communes de la région
 Georges GIRARD, Président de la société d’Etudes Millavoises
 Jacques FRAYSSENGE, archiviste de la ville de Millau
 Mesdames et Messieurs les représentants des diverses Associations culturelles de la région
 Tous nos amis de la presse locale et régionale
 Tous les membres du conseil d’administration, et tout le personnel actuel et ancien, du Cercle Généalogique du Sud-Aveyron, ici présent

Je dois maintenant présenter les excuses de :

 Anne-Marie ESCOFFIER, préfète de l’Aveyron
 Martin MALVY, président du conseil régional de Midi-Pyrénées
 Jean PUECH, président du conseil général de l’Aveyron
 Bernard SEILLIER, Sénateur Maire de Sévérac le Château
 Georges PRIVAT, Ancien député, maire de l’Hospitalet du Larzac
 Alain Fauconnier, conseiller Régional de Midi-Pyrénées
 Pierre RAYNAL, Conseiller Général de Salles-Curan et maire de Villefranche de Panat
 Pierre-Marie BLANQUET, conseiller général de Campagnac et vice-président du conseil général de l’Aveyron
 Fernand SAMBUCY, maire de St-Affrique
 Yves BOYER, maire de Laissac
 Jean-François GALLIARD, maire de Nant
 Pierre Ginesty, maire de St-Beauzély
 Marie-Lise TICHIT vice-présidente de l’Office de Tourisme
 Philippe ILIEFF, directeur du Parc Régional des Grands Causses
 Jean-François DUMAS, directeur de la communauté des communes

Cela fait quatorze ans déjà que notre groupe de généalogistes poursuit sa tâche

Que de chemin parcouru depuis.

En voici chronologiquement les principales étapes

En juin 1986 le regretté Pierre HERAIL, membre de la Société d’Etudes Millavoises, m’invita à participer à une rencontre entre chercheurs et historiens et c’est de là que, sur une passion commune et devant la nécessité d’accomplir le sauvetage de vieux documents, naquit le premier groupe de généalogistes. Il fut intégré au sein de la Société d’Etudes Millavoises sur proposition de son président Georges Girard et prit le nom de « Cercle Généalogique du Sud-Aveyron, section de la Société d’Etudes Millavoises ».

A compter de cette date la section généalogique n’a cessé de s’agrandir passant de 17 adhérents la première année à plus de 600 aujourd’hui qui, depuis, se rencontrent chaque année et toujours le deuxième week-end de Septembre, en Assemblée Générale dans un lieu chaque fois différent de notre Sud-Aveyron

 Millau en 1987
 1988 St-Victor
 1989 Camarès
 1990 Villefranche de Panat
 1991 Viala de Cornus
 1992 Viala du Tarn
 1993 St-Izaire
 1994 St-Léons
 1995 Belmont
 1996 Millau
 1997 Nant
 1998 Séverac le Château
 1999 St-Sernin-sur-Rance
 2000 Salles-Curan

Afin de pouvoir prétendre à des subventions et considérant que le travail effectué était de qualité Monsieur Jean DELMAS, directeur des Archives Départementales nous demanda dès fin 1990 d’étendre nos travaux à tout le département. Aucune objection de notre part sinon l’impossibilité de répondre aux demandes de renseignements portant sur le Nord et l’Ouest du département.

Deux réunions eurent lieu, avec lui, à Millau début 1991 pour étudier une solution, elle était simple : créer un cercle Départemental dont le siège serait situé dans les locaux des Archives Départementales et ensuite collaborer. Nous avions déjà prévu le titre de ce nouveau cercle : « Cercle Généalogique du Rouergue »

Ce qui fut fait à Rodez le 25 janvier 1992 lors d’une Assemblée constitutive ou de nombreux membres du Sud-Aveyron étaient présents. Six d’entre eux acceptèrent de participer au bureau constitutif Madame Elisabeth PONS-ROUVIER, MMr Bernard BRENGUES, Jean FALGUIER, Maurice GALTIER, Louis de MONTETY et moi-même. Le Cercle du Rouergue était né et Geneviève SAUREL de Rodez fut nommée présidente et moi vice-président.

Au bout d’un certain temps n’ayant pu trouver un terrain d’entente entre le nouveau groupe que nous venions de créer et nous, et comme nous étions installés confortablement, chez Bernard BRENGUES, en progression constante pour nos effectifs, notre section devenait une charge trop lourde pour la Société d’Etudes Millavoises et incorporait de plus en plus de nouveaux membres non Millavois, aussi elle décida en 1993 dans son Assemblée Générale de Saint-Izaire de se constituer en association autonome qui prit le nom de :

"Cercle Généalogique du Sud-Aveyron"

C’est ainsi qu’apparurent deux cercles en Aveyron, toujours cette guerre Millau-Rodez.
. Nous étions alors 148 adhérents, à ce jour nous avons dépassé le nombre de 600.

A l’heure actuelle les deux cercles travaillent et restent indépendants tout en collaborant le plus possible

Toutefois je me dois de remercier ici :

 Georges GIRARD, président de la Société d’Etudes Millavoises qui nous a intégré au sein de sa Société.
 Paul FINIELS, ancien directeur de l’office de Tourisme qui nous a hébergé dans ses locaux de 1987 à 1989, pour nos réunions bi-mensuelles.
 Alain VERNHET, directeur des fouilles de la Graufesenque, nous proposa en 1989 un local, sur ce site prestigieux pour nos réunions devenues hebdomadaires. Nous devions y rester près de 5 ans, jusqu’en fin 1993,

Les réunions ne représentaient qu’une partie de notre activité puisque en même temps de nombreux adhérents, décrypteurs de vieux documents apportaient leurs relevés ; ils étaient dactylographiés par notre première bénévole, Anne-Marie ABBAL, qui travaillait chez elle. Mais elle eut vite besoin d’une aide constante et d’un matériel plus performant. Aussitôt Bernard BRENGUES nous prêtait un ordinateur, et en 1989 nous embauchions notre première TUC. Georges GIRARD, nous proposa de l’héberger dans une salle du presbytère Saint-Martin, place Emma CALVÉ.

Pendant ce temps, durant plus d’un an Jacques FRAYSSENGE, archiviste de la ville de Millau, gardait en dépôt nos premiers documents dactylographiés, dans ses locaux du CREA où les chercheurs généalogistes étaient aimablement accueillis pour consulter à leur aise.

Une fois de plus nous fûmes vite à l’étroit et c’est Bernard BRENGUES qui trouva la solution. Dès 1991, il logea nos deux premières CES, dans un des bureaux de son entreprise. Il nous permit d’emprunter sa photocopieuse et sa machine à relier les documents, et il fait depuis pour nous, gratuitement, les bulletins de salaires de nos employées.

Fin 1993 il aménagea généreusement une salle au sous-sol de son entreprise, qui nous permit d’avoir plus de matériel et quatre employées au service de l’Association. Cette salle de l’impasse du Rajol, tous nos adhérents la connaissent et en gardent l’agréable souvenir de rencontres chaleureuses et amicales.
Nous sommes restés là jusqu’au 31 juillet 2000 et je tiens à préciser, que sans Bernard BRENGUES nous n’aurions pu accomplir tout le travail appréciable que vous avez sous les yeux, s’étalant sur 21 mètres linéaires pour les registres notariaux, 45 mètres linéaires pour les registres paroissiaux, soit environ plus de 600.000 photocopies, représentant une richesse de plus de 820.000 actes, sauvegardés, ce qui justifie notre slogan.

SAUVER NOS ARCHIVES

MEMOIRE COLLECTIVE LEGUEE PAR NOS ANCETRES

Depuis le 1er Août 2000 nous sommes ici dans ce vaste et agréable local que Monsieur le maire de Millau, avec l’assentiment unanime de son conseil municipal, a bien voulu mettre à notre disposition. Tous les généalogistes les en remercient vivement et particulièrement les membres de la commission de la culture.

Une partie du mobilier que vous avez autour de vous a été offert par les adhérents qui ont eu à coeur de mener à bien l’aménagement définitif, auquel ont participé les bricoleurs bénévoles dont le travail soigné est apprécié, ainsi que de nombreux membres du conseil d’administration qui ont donné beaucoup de leur temps et de leur savoir faire, répondant toujours présent pour rendre service et je me dois de leur adresser ici mes plus vifs remerciements.

J’espère que cette installation sera la dernière, puisqu’elle répond parfaitement à nos besoins. Aujourd’hui nous fêtons la sainte Catherine où comme dit le proverbe « tout bois prend racine » nous souhaitons qu’une immense forêt d’arbres surgisse de ce lieu.

C’est quoi vos travaux ? ?
nous demandent souvent les non initiés à la généalogie.

c’est notre slogan qui sert de réponse sauver les vieux documents et nous ajoutons « aider tous ceux qui désirent élaborer leur généalogie »

Pour sauver ces archives comment avons-nous procédé jusqu’à ce jour ? Nous prenons contact avec le maire de la commune sur laquelle nous désirons travailler. Avec son accord nous reproduisons, en double exemplaire, les archives anciennes en sa possession. Un exemplaire est déposé en mairie, et mis à la disposition du public. L’autre exemplaire est conservé par le Cercle qui le confie à l’un de ses adhérents pour le décrypter. L’original est ainsi à l’abri, donc sauvé de toute détérioration : On a souvent constaté des disparitions de feuillets, des pages arrachées voire amputées de cachets et de signatures par des collectionneurs ou des chercheurs indélicats.

Lorsque le travail de décryptage est terminé, l’adhérent apporte son manuscrit qui est saisi sur informatique par nos quatre employées (des fées laborieuses, nous écrira un adhérent de Nîmes). Ensuite une édition des informations saisies est réalisée, par ordre alphabétique et chronologique. Cette édition est reproduite en plusieurs exemplaires dont un est remis à la Mairie concernée, un aux Archives Départementales, un à notre permanence et un autre au décrypteur. Vous pouvez voir ici tout ce qui a été réalisé soit environ 6 mètres linéaires de fascicules.

A ce jour nous avons effectué les relevés d’actes dans 97 communes, représentant 208 paroisses et dans 41 études de notaires.

Grâce à ce bénévolat, à tous les adhérents qui nous font confiance chaque année et avec l’aide des mairies, qui nous remboursent une partie des frais engagés pour le travail effectué, nous avons pu acheter du matériel informatique en début d’année 1994, et par la suite nous moderniser en fonction de nos moyens. (au passage je tiens à remercier les mairies de Creissels et de Montjaux qui depuis le début nous ont attribué chaque année une subvention)

Depuis notre arrivée dans ces nouveaux locaux, s’ajoutent trois nouveaux bureaux plus confortables et fonctionnels pour nos employées, un nouvel ordinateur avec graveur de Cédérom, une photocopieuse numérique, des tables et des chaises confortables pour les chercheurs et des rayonnages pour le classement de nos documents.

Mais en cette fin du vingtième siècle de nouveaux problèmes surgissent :

Les Archives Départementales de l’Aveyron sont en train de finir la numérisation de tout l’état civil en leur possession, vaste travail que le conseil général de l’Aveyron a lancé depuis plus de cinq ans environ et qui sera bientôt terminé. Il faut savoir que l’Aveyron est le premier département Français a s’être lancé dans cette aventure fabuleuse

Chaque commune sera dotée d’un cédérom contenant le relevé de tous ces registres et nous voudrions pouvoir les éditer à l’aide de notre nouvelle photocopieuse afin de continuer notre travail de la même façon. Le problème sera d’obtenir l’accord et l’aide financière des mairies, à moins que le Conseil Général accepte de nous les offrir.

Mais déjà des adhérents nous ont posé la question de savoir si les Archives Départementales ou les mairies seraient prêtes à vendre une copie de ces Cédéroms à des particuliers, nous nous sommes demandé ce qu’il adviendrait si une telle vente se généralisait.

Il pourrait s’ensuivre un commerce tel, que la fin de nos travaux serait assurée. A notre tour nous posons la questions aux membres du conseil général, ici présents, « existe-t-il une réglementation relative à un commerce prévisible ». Nous craignons que par l’intermédiaire d’Internet ces archives ne servent qu’à favoriser des professionnels. De plus connaissant l’usage que font les Mormons des actes civils ou religieux qu’ils trouvent, certains adhérents craignent que par ce moyen, nos ancêtres soient baptisés, selon leur façon de faire.

INTERNET

En 1995, un de nos adhérents, Jean-Claude MAUREL résidant en Suède, créa un site internet à notre intention sur lequel les internautes pouvaient déjà découvrir, notre adresse, et la liste de nos travaux.

Depuis 1997 Emilien ABBAL de Toulouse et son fils Laurent ont créé un nouveau site plus complet, sur lequel on peut trouver : une description du cercle, une base de données de plus de 170.000 actes de mariages et contrats de mariages, un Forum, des Liens avec des sites généalogiques Français ou Etrangers, l’Actualité du Cercle, des informations pratiques, des remarques et le bulletin d’adhésion.

Cette année un tiers de nouvelles adhésions s’est effectué par ce moyen et nous constatons que ce site est très souvent consulté (plus de 13.000 en un an)

C’est ainsi que nous avons des adhérents en Argentine, descendants de la colonie Aveyronnaise de Pigüe, en Polynésie Française, Guyanne, Guadeloupe, Belgique, Suède, Canada, Italie, Suisse, Maroc. S’y ajoutent les demandes d’un Vigouroux du Mexique, d’un VIDAL d’Amérique etc etc . . . ou de ce Canadien qui nous dit ceci : « Je viens de faire un tour d’horizon de votre site, mais où se trouve la région de l’Aveyron en France par rapport à Paris » . Il nous faudra sans doute joindre une carte pour se situer.

Nous pensons nous améliorer dans ce domaine en répondant à de telles demandes pour la satisfaction de nos adhérents et en suivant l’évolution des nouvelles technologies.

Avec l’aide de microtel, des cours pour l’apprentissage d’internet sont à l’étude et seront mis en place prochainement pour nos employées et les administrateurs qui le désireront.

NOS TRAVAUX et nos PROJETS

Nos permanences du Samedi matin ayant été supprimées depuis notre nouvelle installation, vont reprendre au rythme d’un samedi entier par trimestre, afin de satisfaire la demande d’adhérents qui ne peuvent se déplacer en semaine en raison de leur activité professionnelle. Nous pourrons augmenter ce rythme en fonction de ces demandes.

Des cours de paléographie sur des textes latin, viennent de se créer depuis un mois, sous la direction de Jean-Yves BOU, professeur d’histoire Géographie au Lycée Jean Vigo, Neuf adhérents sont déjà intéressés pour poursuivre leurs recherches au dessus du 16ème siècle.

Nous allons collaborer avec les « amis du Parc Régional des Grands Causses » à la recherche des toponymes anciens ou disparus. La généalogie offre aussi l’avantage de contribuer à enrichir l’histoire locale.

Nous envisageons l’achat d’un appareil photographique numérique à carte, qui nous permettrait de travailler plus rapidement soit aux Archives Départementales ou à la Société des Arts et Lettres de l’Aveyron, soit chez des particuliers qui possèdent encore de nombreux documents.

Nos archives contiennent d’innombrables richesses, mises à la disposition de tous les chercheurs :

Ainsi Janine OLIVELLA, de SANARY-sur-Mer, dans le Var, a pu grâce à nos relevés, effectuer un travail sur Antoine TROUCHE, né à Coupiac le 18 pluviôse de l’an 8, qui fut à l’origine de la naissance de la station balnéaire de Soulac-sur-Mer en Gironde,

André SEVIN, ingénieur de Recherches au CNRS, attaché au laboratoire d’Anthropologie de Toulouse, a pu à l’aide de nos relevés faire une étude sur l’Endogamie et l’Exogamie du Canton de St-Sernin-sur-Rance

Pierre HOCQUELLET de Bordeaux, reprenant l’armorial général du Rouergue, de 1696 « dit d’Hozier », est en train de corriger les nombreuses bévues qui s’y trouvent, en se servant de nos travaux.

Nous avons envoyé à un étudiant de Villeneuve d’Aveyron, qui rédigeait une thèse, des documents sur les fondeurs, les sonneurs ou les baptêmes de cloches.

Via internet, une étudiante en histoire à l’Université de Lausanne nous demande notre aide pour reconstituer l’histoire généalogique d’une famille MERCIER de Millau venue s’installer à Lausanne vers 1740 comme tanneur et par la même occasion l’histoire de Millau à cette époque là.

La généalogie permet quelquefois de relativiser certains faits d’actualité médiatisés à outrance, par exemple lors du 122ème anniversaire de Jeanne CALMENT en 1997, nous avons eu le plaisir de signaler à la presse que chez nous aussi, une paroissienne de Saint-Sauveur du Larzac est signalée morte à l’âge de 120 ans environ.

Nous n’avons pas encore trouvé de texte relatant des cas de vaches folles. Par contre certains curés notent dans leurs registres paroissiaux la maladie principale sévissant selon les années soit : la fièvre putride, soit la gale opiniâtre chez la brebis, ou le mal rouge chez les pourceaux etc ..

Je pourrais continuer encore cette liste, avec les inondations, les grands froids, la grêle, tremblements de terre, etc etc .mais j’en termine pour ne pas vous lasser.

Nous pouvons dire que notre cercle contribue à faire connaître Millau et notre Sud-Aveyron et qu’il participe tout au long de l’année à la vie économique de la région. (Sachant que nous avons une moyenne de 7 à 8 personnes qui passent tous les jours dans nos locaux)

Monsieur le Sous-Préfet, Mesdames et Messieurs les élus, chers amis, je vous remercie de votre bienveillante attention

Maurice MIQUEL

Président