Re: ST BEAUZELY Hyppolite BOYER né en 1845
Posté : 20 mai 2021, 15:36
Bonjour à tous !
Je rectifie ce que j'ai écrit le 6 novembre dernier au sujet de l'ascendance de Jean Pierre Hippolyte Boyer :
"Et Jean Pierre Hypolite Boyer descendait probablement, quant à lui, du fils le plus jeune de ce même couple, François Boyer (1780-1840). Je dis probablement car, n'ayant pu trouver trace de son mariage avec Françoise Gayraud ( ?- †Azinières, 17/12/1862), je n’ai pas la preuve que le François Boyer décédé à Azinières le 12 octobre 1840 à un âge évalué à 61 ans soit bien le François Boyer qui y naquit le 24 mars 1780 et qui aurait donc bien été dans sa 61ème année en octobre 1840. Disons qu’il y a une très forte présomption pour qu’il s’agisse du même. Quant à son épouse, je n’ai pas trouvé de quelle famille ni de quel lieu elle est issue."
On peut supprimer le "probablement" car l'acte de mariage des grands-parents paternels de Jean-Pierre Hippolyte Boyer existe bel et bien, même s'il ne figure pas sur les relevés du CGA. Il semble que la saisie des actes de mariage pour la commune de Saint-Beauzély et l'année 1813 comporte deux lacunes dans nos relevés : le mariage Jean-Pierre Calmels - Marie Marquès du 26/10 et le mariage François Boyer - Françoise Gayraud du 12/11. Ce dernier acte est consultable sur le site des AD 12 sous la cote 4 E 221-4 Saint-Beauzély, Castelnau, Castelmus M 1813 vue 32. On y apprend que Françoise Gayraud, la grand-mère paternelle de Jean-Pierre Hippolyte Boyer, est "native du village de Teysseyre, paroisse de Curan, le vingt-sept juin mil sept cent quatre-vingt-six, fille d'Alexandre Gayraud, cultivateur habitant du lieu de St-Laurens, ici présent et consentant, et de fue Marie Raynal décédée audit St-Laurens le onze juillet mil huit cent neuf [...]"
Pourquoi ne trouve-t-on pas le baptême de Françoise Gayraud dans nos relevés ? Tout simplement parce que ce baptême n'existe pas, du moins sous ce nom ; elle a été baptisée par le vicaire de Curan à la date indiquée ci-dessus sous le seul nom de "Françoise, née de père et mère inconnus". (On peut trouver raide que le vicaire, qui n'avait que 630 paroissiens, ait fait semblant de ne pas savoir qui était la mère, mais bon, passons !)
Pourquoi s'appelle-t-elle Gayraud alors, au moment de son mariage en 1813 ? C'est parce que deux ans et demi après ce baptême, le 19 novembre 1788 exactement, à Saint-Laurent-du-Lévézou, un certain Alexandre Gayraud, de Saint-Laurent, épouse une certaine Marie Raynal, de Teysseyre, Curan. Et ils légitiment à ce moment la petite Françoise "née environ le vingt-sept juin mil sept cent quatre-vingt-six".
Voilà au moins un mystère en partie éclairci !
Et si, au vu des actes, un doute peut subsister sur l'ascendance Gayraud, l'acte de mariage de 1813 confirme au moins l'ascendance Boyer.
Je rectifie ce que j'ai écrit le 6 novembre dernier au sujet de l'ascendance de Jean Pierre Hippolyte Boyer :
"Et Jean Pierre Hypolite Boyer descendait probablement, quant à lui, du fils le plus jeune de ce même couple, François Boyer (1780-1840). Je dis probablement car, n'ayant pu trouver trace de son mariage avec Françoise Gayraud ( ?- †Azinières, 17/12/1862), je n’ai pas la preuve que le François Boyer décédé à Azinières le 12 octobre 1840 à un âge évalué à 61 ans soit bien le François Boyer qui y naquit le 24 mars 1780 et qui aurait donc bien été dans sa 61ème année en octobre 1840. Disons qu’il y a une très forte présomption pour qu’il s’agisse du même. Quant à son épouse, je n’ai pas trouvé de quelle famille ni de quel lieu elle est issue."
On peut supprimer le "probablement" car l'acte de mariage des grands-parents paternels de Jean-Pierre Hippolyte Boyer existe bel et bien, même s'il ne figure pas sur les relevés du CGA. Il semble que la saisie des actes de mariage pour la commune de Saint-Beauzély et l'année 1813 comporte deux lacunes dans nos relevés : le mariage Jean-Pierre Calmels - Marie Marquès du 26/10 et le mariage François Boyer - Françoise Gayraud du 12/11. Ce dernier acte est consultable sur le site des AD 12 sous la cote 4 E 221-4 Saint-Beauzély, Castelnau, Castelmus M 1813 vue 32. On y apprend que Françoise Gayraud, la grand-mère paternelle de Jean-Pierre Hippolyte Boyer, est "native du village de Teysseyre, paroisse de Curan, le vingt-sept juin mil sept cent quatre-vingt-six, fille d'Alexandre Gayraud, cultivateur habitant du lieu de St-Laurens, ici présent et consentant, et de fue Marie Raynal décédée audit St-Laurens le onze juillet mil huit cent neuf [...]"
Pourquoi ne trouve-t-on pas le baptême de Françoise Gayraud dans nos relevés ? Tout simplement parce que ce baptême n'existe pas, du moins sous ce nom ; elle a été baptisée par le vicaire de Curan à la date indiquée ci-dessus sous le seul nom de "Françoise, née de père et mère inconnus". (On peut trouver raide que le vicaire, qui n'avait que 630 paroissiens, ait fait semblant de ne pas savoir qui était la mère, mais bon, passons !)
Pourquoi s'appelle-t-elle Gayraud alors, au moment de son mariage en 1813 ? C'est parce que deux ans et demi après ce baptême, le 19 novembre 1788 exactement, à Saint-Laurent-du-Lévézou, un certain Alexandre Gayraud, de Saint-Laurent, épouse une certaine Marie Raynal, de Teysseyre, Curan. Et ils légitiment à ce moment la petite Françoise "née environ le vingt-sept juin mil sept cent quatre-vingt-six".
Voilà au moins un mystère en partie éclairci !
Et si, au vu des actes, un doute peut subsister sur l'ascendance Gayraud, l'acte de mariage de 1813 confirme au moins l'ascendance Boyer.